Bien sûr le Sud Ouest bimédia de demain continuera de vendre à ses annonceurs du nombre de lecteurs ou de l’audience comme aujourd’hui. Mais ce qui change avec la personnalisation des services d’information, c’est que désormais les média pourront vendre « de la contextualisation , de la géolocalisation et des cibles qualifiées », comme l’a précisé Olivier Gerolami. lire la suite

Bien sûr le Sud Ouest bimédia de demain continuera de vendre à ses annonceurs du nombre de lecteurs ou de l’audience comme aujourd’hui. Mais ce qui change avec la personnalisation des services d’information, c’est que désormais les média pourront vendre « de la contextualisation , de la géolocalisation et des cibles qualifiées », comme l’a précisé Olivier Gerolami.

Nouveau, pas tant que cela, car la presse régionale connaissait déjà la contextualisation et les cibles qualifiées en vendant les espaces de la publicité dite « de rigueur » (on vend un environnement rédactionnel précis), et une forme de géolocalisation avec ses pages de petite locale. Mais Internet et le GPS confortent très sérieusement et en temps réel ces possibilités.

Ces formes de publicité vont de pair avec le « pay per indexing », nouvelle forme de rétribution des supports au contact (c’est toujours le nombre qui compte) mais aussi à la qualité de ce contact.

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