La quotidien régional est mal en point. Avec au maximum 280.000 exemplaires vendus chaque jour, le journal subit une érosion relativement contenue de 2 % par an. L’endettement est récurrent et les dettes ne sont plus aujourd’hui d’ordre conjoncturel mais d’ordre structurel, selon Olivier Gerolami. Le « vaisseau amiral » n’est « plus l’actif le plus porteur du lire la suite

La quotidien régional est mal en point. Avec au maximum 280.000 exemplaires vendus chaque jour, le journal subit une érosion relativement contenue de 2 % par an. L’endettement est récurrent et les dettes ne sont plus aujourd’hui d’ordre conjoncturel mais d’ordre structurel, selon Olivier Gerolami.

Le « vaisseau amiral » n’est « plus l’actif le plus porteur du groupe » même s’il en représente encore aujourd’hui 50 % du chiffre d’affaires.

La faute à cette érosion des ventes, mais aussi au tassement du marché de la publicité alors que les coûts fixes ne diminuent pas.

Un effet ciseaux dont le résultat ne peut être que des coupes que redoutent les employés du journal surtout du côté de la fabrication. Un comité d’entreprise qui devrait être crucial pour l’avenir du journal se tient vendredi 9 novembre.

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