Face au constat du racisme et du manque de représentation dans les médias, plus de 160 journalistes s’engagent.

Le mardi 21 mars, Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, lancée par les Nations Unies en 1966, l’ Association des journalistes antiracistes et racisé.e.s (AJAR) était officiellement annoncée.

L’ Association des journalistes antiracistes et racisé.e.s qui vient de voir le jour a le soutien de Prenons la Une pour l’égalité des genres dans les rédactions, de l’AJL (Association des journalistes lesbiennes, gays, bi, trans et intersexes), de deux syndicats de journalistes (SNJ et SNJ-CGT), de Femmes Journalistes de sport et de 170 journalistes « issus d’une pluralité de rédactions ».

Partant de constats (racisme, manque de représentation dans les médias, AJAR, via une tribune publiée dans Libération le 20 mars lance un appel aux rédactions, aux écoles de journalisme, aux syndicats et aux collectifs de journalistes à s’attaquer à cette plaie qu’est le racisme dans l’exercice de la profession.

La tribune de l’AJAR publiée dans Libération

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