Dominique Hummel, directeur du Futuroscope, présentait ce matin ( 16 avril 2015) au Club de la Presse, les nouveautés de l’année. Une évolution de la philosophie générale à relier au changements intervenus dans la gestion du site. Depuis quatre ans, les parts de propriété du Futuroscope sont majoritairement détenues par la Compagnie des Alpes (45 lire la suite
Dominique Hummel, directeur du Futuroscope, présentait ce matin ( 16 avril 2015) au Club de la Presse, les nouveautés de l’année. Une évolution de la philosophie générale à relier au changements intervenus dans la gestion du site.
Depuis quatre ans, les parts de propriété du Futuroscope sont majoritairement détenues par la Compagnie des Alpes (45 %) avec l’appui d’autres partenaires minoritaires (17 %) alors que le Département de la Vienne qui avait conçu le parc ne détient plus que 38 % des actions. Le mode de gestion est aujourd’hui sans doute plus dynamique, en tous cas essentiellement entre les mains d’un homme, responsable devant son conseil d’administration, Dominique Hummel.
Le deuxième parc de loisirs français vise les 100 millions de chiffre d’affaires en 2017 (90 en 2015) et fait pour cela feu de tous bois. Avec un investissement de 54 millions d’euros à l’horizon 2017, il renouvelle fondamentalement son offre. En dehors du fait que de nouvelles attractions apparaissent, c’est un changement important de philosophie qui se profile : moins d’attractions « techniques » et plus d’offres ludiques, plus « d’émotion », selon son directeur.
Un exemple, fini l’IMax, qui mettait à la portée de tous de l’image haute définition, place à l’imaginaire pour se projeter dans un futur réinventé ! Mais que chacun se rassure, la science reste principalement la porte d’accès à ce futur, « une expérience positive du futur » : cuisine moléculaire, robots, mapping video, univers virtuels… seront présents à côté de « plus de poésie » et d’aventure personnelle.
