Le n°1 d’AéroMag-Aquitaine vient d’être publié. Un trimestriel spécialisé entièrement dédié à l’aéronautique, le spatial et la défense en Aquitaine. Les coulisses de ce nouveau journal de la presse professionnelle « Tout ce qui vole dans le ciel et dans l’espace porte la marque de l’Aquitaine » : tel est le slogan du groupement des industriels aquitains lire la suite

Le n°1 d’AéroMag-Aquitaine vient d’être publié. Un trimestriel spécialisé entièrement dédié à l’aéronautique, le spatial et la défense en Aquitaine. Les coulisses de ce nouveau journal de la presse professionnelle

« Tout ce qui vole dans le ciel et dans l’espace porte la marque de l’Aquitaine » : tel est le slogan du groupement des industriels aquitains du secteur Aéronautique-Spatial-Défense. L’Aquitaine, 3ème bassin aéronautique et spatial français, va désormais pouvoir s’appuyer sur un magazine professionnel spécialisé qui lui sera entièrement consacré : AéroMag-Aquitaine. Son objectif est « d’accompagner le développement de la filière Aéronautique-Spatial-Défense (ASD) aquitaine aux niveaux régional, national et international ». Ce magazine a été créé par Bordeaux Technowest, seule technopole en France pour le secteur ASD. L’équipe rédactionnelle est dirigée par Gosia Pétaux, secrétaire générale de Bordeaux Technowest, avec Marie Lejeune-Piat pour la partie professionnelle économique. Cette dernière est la fondatrice de Mag-Aquitaine en 2008, un journal qui fut dédié aux PME aquitaines dans tous les services d’activité. AéroMag-Aquitaine s’inspire d’ailleurs de la maquette de ce magazine.

Un magazine qui cible les professionnels et le grand public

« Nous avons eu l’idée de créer ce journal à l’occasion du centenaire de l’aéronautique en Aquitaine. La ville de Mérignac a organisé plus d’une quarantaine de manifestations et nous avons découvert à ce moment là qu’il y avait un public vraiment intéressé pour mieux connaître ce secteur », explique Gosia Petaux. « Nous ciblons donc aussi bien les professionnels, que le grand public », précise-t-elle. Il faut savoir que la filière représente 40.000 emplois et qui est co-leader, avec le secteur vinicole, des exportations aquitaines.

De nombreux journalistes dans la rédaction et des offres à pourvoir

Le titre comporte 44 pages, divisées en deux parties avec un pan dédié à l’actualité économique aéronautique dans la région et un cahier central de 12 pages baptisé « Copernic, des ailes et des étoiles » évoquant « la vie de machines volantes, des lieux où elles naissent, de ceux qui les conçoivent et les pratiquent ». Un cahier rédigé par le journaliste et pilote Bernard Chabbert, grand spécialiste des questions, qui a animé la célèbre émission « Pégase » sur France 3 pendant plusieurs années. Deux journalistes travaillent à plein temps sur le projet, Bernard Chabbert et Marie-Lejeune Piat. Deux journalistes pigistes ont également collaboré à ce numéro : Frank Niedercorn, correspondant en Gironde des Echos et membre du conseil d’administration du Club, ainsi que Vincent Biard. « Nous allons sûrement recruter d’autres journalistes », révèle Gosia Petaux.

Un journal qui semble avoir déjà trouvé son public 

Au sommaire du n°1, en économie : le design aéronautique, une interview du président d’Herakles et les 20 ans de l’Institut de maintenance aéronautique. En cahier central : un voyage au cœur de Turboméca, premier centre mondial de production de turbines d’hélicoptères dans le piémont pyrénéen, un vol à bord de l’Airbus «Zéro G» et un zoom sur le Brevet d’initiation aéronautique (BIA). Le premier numéro, tiré à 2 000 exemplaires, a été financé par la CUB (Communauté urbaine de Bordeaux). Il est téléchargeable gratuitement sur le site. Les autres seront payants. « L’idée est de financer le journal par la publicité et les abonnements ». Le prix au  numéro est de 7,50 euros et 28,50 euros pour l’abonnement annuel. Il ne sera pas distribué en kiosques. Depuis le lancement, chaque jour, Gosia Petaux reçoit 5 demandes d’abonnement.  « On ne devrait pas avoir de mal à financer le deuxième numéro. C’est un concept exportable », conclut Gosia Petaux. Une bonne nouvelle pour la presse et les journalistes !

Nicolas César

A lire sur : http://www.aeromag-aquitaine.com 

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