Le spécialiste du tweet mensonger a récidivé. Tommasso Debenedetti avait pourtant été démasqué au printemps de l’an dernier. A la fin de l’année, il a annoncé la mort de J.K. Rowling et des médias y ont encore cru. Ce « journaliste » italien s’est fait une spécialité : celle de la tricherie pour la bonne cause. Devant lire la suite

Le spécialiste du tweet mensonger a récidivé. Tommasso Debenedetti avait pourtant été démasqué au printemps de l’an dernier. A la fin de l’année, il a annoncé la mort de J.K. Rowling et des médias y ont encore cru.

Ce « journaliste » italien s’est fait une spécialité : celle de la tricherie pour la bonne cause. Devant interroger des personnalités pour le compte de son journal, il inventera ces interviews. Il justifie a posteriori sa pratique en arguant de la dénonciation de la faiblesse des médias italiens. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, il s’en est ensuite pris aux réseaux sociaux en empruntant frauduleusement les patronymes de personnes célèbres. Il s’en prend à un ministre espagnol de l’Economie, au Pape (qui ne tweetait pas encore !), à Fidel Castro, à Gorbatchev, etc. Des supports de presse tomberont dans le piège.

Dernière fantaisie en date, l’annonce du décès de l’auteur d’Harry Potter à partir d’une adresse signée John Le Carré ! Et là encore des médias se font piéger.

« Le coucou de Twitter », comme on l’appelle quelquefois prétend d’ailleurs être aussi à l’origine du tweet de Valérie Trierweiler, concernant Olivier Falorni. Une agence de presse et de communication à lui tout seul. En moins de 140 caractères à chaque fois.

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